Arrière-plans de magnifiques animaux sauvages pour vos réunions Zoom
Profitez du confinement pour mettre nos photos d’éléphants, de lions et d’autres animaux sauvages comme toile de fond sur Zoom
Nous sommes nombreux à faire du télétravail ou à être davantage à l’intérieur depuis la pandémie de COVID-19.
Comme nous utilisons Zoom, Skype et d'autres programmes de visioconférence plus souvent, c’est le moment idéal de mettre nos belles images en arrière-plan, pour rappeler l'importance de laisser les animaux sauvages dans la nature, dont ils font partie.
Comment installer un arrière-plan dans Zoom
Installer un arrière-plan virtuel pour vos rencontres Zoom est simple comme tout.
Il suffit de cliquer sur la flèche à droite du bouton Vidéo, en bas à gauche, et sélectionner Choisir un arrière-plan virtuel (ou Virtual background). Vous pouvez alors ajouter une image de la sélection qui suit, une fois que vous l’aurez sauvée dans votre système.
Pourquoi est-ce écrit à l’envers sur mon arrière-plan Zoom?
Ne vous en faites pas si vous voyez le texte à l'envers, car en réunion, les autres le verront à l’endroit. L’affichage de Zoom est en mode miroir, car c’est ainsi que nous nous voyons en général. Vous pouvez désactiver l’effet miroir, mais c’est déconseillé.
Notre pétition mondiale
Au lieu de faire un don ou de payer ces arrière-plans, vous êtes invité à signer notre dernière pétition Pour mettre fin au commerce mondial des espèces sauvages. Une fois pour toutes.
Ce commerce cruel affecte tous les magnifiques animaux plus bas. Avec votre voix, aidez-nous à les protéger.
Le paresseux à deux doigts
Parce qu’il est doux et lent, et que son visage donne toujours l’impression de sourire, le paresseux est devenu la star des « selfies fauniques » en Amazonie. Cet animal calme et doux est arraché à son habitat naturel et contraint de vivre dans le bruit et la confusion, passant sans cesse entre les mains des touristes.
L’ours brun d’Europe
Cet ours brun a la chance de vivre dans le sanctuaire Libearty. Avec l’AMP (Asociatia Milioane de Prieteni), notre partenaire roumain, nous avons commencé à construire ce sanctuaire en 2005, après que l’AMP nous ait sensibilisés la détresse des ours détenus en captivité illégale en Roumanie. Le sanctuaire a depuis accueilli 126 ours sauvés de leur vie de souffrance dans les zoos et les sites d’attraction à travers l’Europe.
Le lion
Si le lion est menacé par la destruction de son habitat, il l’est aussi par le commerce des espèces sauvages. En Afrique du Sud, les lionceaux servent dans les activités axées sur les caresses et la marche avec les touristes. Une fois devenus trop gros, ils servent à la chasse en enclos. Les chasseurs paient une fortune pour une prise assurée par le fait que les lions ne peuvent s’enfuir. On recueille ensuite leurs os pour les exporter en Asie, ce qui est légal en Afrique du Sud. En 2018, l’Afrique du Sud a exporté 1500 squelettes de lions. Ce lion a été photographié dans le parc national de Nairobi, au Kenya.
L’orang-outan
Comme le paresseux, l’orang-outan est maintenu dans des conditions cruelles et forcé de poser pour les selfies des touristes. Il est aussi dressé pour se produire dans des spectacles grotesques pour touristes : on le fait monter à vélo ou en tyrolienne, boxer et même danser en bikini. Heureusement, l’orang-outan ci-dessous vit au sanctuaire BOSF à Bornéo.
Le toucan
Le toucan connait souvent le même sort que les deux premiers: emprisonné et manipulé grossièrement par les touristes. Voici un toucan heureux aperçu dans la jungle du Brésil.
L’éléphant d’Afrique
Il est tragique que des milliers d’éléphants soient gardés en captivité partout en Asie au nom du tourisme faunique. Parce qu’il est immense, fort et intelligent, on impose à l’éléphant des pratiques cruelles : on l’enchaine, on lui fait subir un dressage barbare et des punitions sévères pour qu’il accepte de divertir les touristes. Cet éléphant vit sereinement à ChangChill, un site que nous soutenons en Thaïlande, axé sur le bien-être des éléphants.
Le Caïman
En plus d’être exploité comme les autres, pour les cruels selfies des touristes, le caïman est élevé dans des conditions inadaptées à sa peau, dont on fera du cuir pour produits de luxe.
Protégeons la faune
Pour protéger ces animaux de la cruauté, nous devons mettre fin au commerce mondial des espèces sauvages. Une fois pour toutes.