L’organisation Freeland est aux premières lignes dans la lutte contre le trafic d’animaux et veille à mettre fin au commerce d’espèces sauvages et à l’esclavage. Par ce partenariat, nous combinons nos ressources et mettons à profit nos réussites, comme la poursuite de 2014 pour vente illégale d’ivoire au Royaume-Uni. En travaillant ensemble, nous allons accomplir beaucoup plus pour les animaux dans le monde complexe et dangereux du trafic d’espèces sauvages.
Nous menons présentement une enquête conjointe, et nous transmettrons les preuves et les renseignements recueillis aux forces de l’ordre pour les aider à démanteler de façon permanente le trafic d’espèces en Asie du Sud-Est. Ensemble nous veillerons à protéger une multitude d’autres espèces sauvages dans la région, tout incitant le public à reconnaitre que la place des animaux sauvages est dans la nature.
Un commerce lucratif
La valeur du trafic d’espèces sauvages est estimée à plus de 19 milliards $ par année. Il s’agit de la quatrième activité illicite la plus lucrative, après le narcotrafic, la contrefaçon et la traite d’êtres humains.
La récente saisie de 151 pangolins par les Rangers de l’armée thaïlandaise, évalués à 3 millions de bahts thaïlandais (92 173 $US), a révélé la puissance financière derrière ces transactions.
Les chaines d'approvisionnement illégales sont très sophistiquées et impliquent de nombreux intermédiaires entre le braconnier et le consommateur, qui ignore souvent la façon dont son animal (ou produit) est parvenu jusqu’à lui. Notre partenariat avec Freeland permettra aux deux organisations de se déplacer et de démanteler ces chaines plus efficacement que jamais.
Le trafic d’espèces sauvages, une question de protection des animaux
Si le trafic d’espèces sauvages est déjà considéré comme une menace à la survie des espèces, il constitue aussi une sérieuse menace pour le bien-être de millions d’animaux sauvages chaque année. Tous les animaux sauvages vivent un certain niveau de souffrance dès qu’on les retire de leur habitat naturel.
À la capture, ils vivent un grand stress, puis ils sont souvent blessés aux membres, à la queue ou à la carapace quand ils sont manipulés et immobilisés. Ils sont ensuite généralement entassés dans des conditions exigües et insalubres pendant des périodes prolongées, où ils souffrent et peuvent même mourir. Et même après le transport, ceux qui ont survécu sont confrontés à un avenir incertain.
Inspirer le monde à protéger les animaux sauvages
Dans le cadre de ce partenariat avec Freeland, nous serons les premiers à vous annoncer ce que nous avons accompli pour le bien-être des animaux. Suivez-nous sur Facebook et Twitter pour avoir les dernières nouvelles.
Nous travaillons à protéger la faune partout au monde, des ours du Pakistan jusqu’aux animaux dans nos océans. Nous croyons sincèrement que les animaux sauvages font partie de la nature – et qu’ils doivent y rester. Pour en savoir plus sur notre travail.
