Piégées, traumatisées et forcées à faire des tours. 

Kiska a passé plus de 40 ans piégée dans un minuscule bassin et forcée à faire des tours pour les touristes à Marineland en Ontario. Tokitae a passé 52 ans dans son bassin en béton à Seaquarium, Miami. Au lieu de nager jusqu'à 225 kilomètres par jour comme elles le feraient dans la nature, ces êtres sensibles ont été arrachés à leur milieu naturel et ont enduré une vie d’exploitation, jour après jour, semaine après semaine, année après année.

Les vies et les décès de Kiska et Tokitae servent de cri de ralliement, nous poussant à travailler ensemble pour un monde où tous les animaux sauvages peuvent vivre libres. Votre don aujourd'hui peut rendre possible cette réalité en exposant les entreprises qui tirent profit de la souffrance de ces magnifiques animaux et en soutenant des alternatives comme les sites du patrimoine baleinier et les sanctuaires marins.

Photo : Jo-Anne McArthur / We Animals Media 

Notre vision est celle d’un monde où les animaux vivent libres de cruauté et souffrance. Ensemble nous inspirons le monde à protéger les animaux.
kiska
Dernière orque captive au Canada, Kiska est morte après plus de quarante ans en captivité. Son histoire met en lumière les problèmes systémiques de l’industrie des cétacés en captivité et la nécessité d’y apporter des solutions comme le Whale Sanctuary Project.
The case against marine mammals in captivity
Les mammifères marins tels que les dauphins, les baleines et les otaries sont parfaitement adaptés pour vivre et prospérer dans leur habitat océanique sauvage, et non dans les limites d'un bassin en béton fabriqué par l'homme.
Bill S-203 passed. Now what?
Le projet de loi S-203 a été adopté, interdisant la détention, l'élevage et le commerce de cétacés (baleines, dauphins et marsouins) à des fins de divertissement. Cependant, il existe une exception pour ceux déjà en captivité.